dimanche 24 juin 2012
par Alexis Corbière (porte-parole de Jean-Luc Mélenchon)
A la fin de l’année 1904, déjà, le grand Jaurès était la cible répétée des pires attaques de la droite et de l’extrême droite de l’époque. Paul Déroulède, le Le Pen de cette période, avait déclaré : « Je vous tiens, Monsieur Jaurès, pour le plus odieux pervertisseur de conscience qui ait jamais fait en France le jeu de l’étranger ». Cette dernière injure, faisant suite à des dizaines d’autres, avait faire dire à Jaurès devant ses amis : « Je n’en peux (...)