Nous pouvons le constater avec amertume : l’appartenance des pays baltes à l’Union Européenne n’a pas changé l’attitude révisionniste des élites politiques de droite de ces États envers les résultats de la Deuxième Guerre mondiale. Le processus « d’héroïsation » des combattants pronazis continue, par exemple au niveau des écoles et des universités.