Depuis le démantèlement du camp de Gdeim Izik en novembre 2010, la répression s’est poursuivie dans les territoires occupés du Sahara occidental.
Actuellement, il y a plus de 80 prisonniers politiques saharouis. 23 d’entre eux, pour la plupart défenseurs sahrouis des droits de l’Homme, sont en prison depuis novembre 2010 sans procès ni jugement au mépris du droit internatonal.
Leur procès a été fixé au 24 octobre devant un tribunal militaire.
Pour (...)