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Révolution, religion et Constitution : le cas de la Tunisie

dimanche 16 décembre 2012

par Yadh Ben Achour, ancien doyen de la faculté des sciences juridiques de Tunis. Démissionnaire du Conseil constitutionnel en 1992, opposant au régime du président Zine el-Abidine Ben Ali. Lors de la révolution tunisienne de 2011, il est nommé à la tête d’une commission de réforme des textes et des institutions, chargée de débarrasser le droit tunisien des dispositions du régime déchu de Ben Ali. Cette commission fusionne ensuite avec les révolutionnaires et représentants de partis et d’associations réunis au sein du Conseil pour la protection de la révolution pour devenir la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique. À sa tête, il met en place les institutions chargées de veiller sur la transition démocratique en Tunisie.



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