Il est une constante de l’histoire de l’humanité : l’installation, par la violence, de peuples agressifs et prédateurs sur les territoires de populations vaincues. De telles intrusions au sein d’une population déjà établie, laquelle devant alors s’effacer au profit des nouveaux venus, relèveraient même d’une pulsion biologique inhérente à tous les êtres vivants. Nul ne songe, et certainement pas les conquérants eux-mêmes, à se poser la question de savoir (...)