Grandes ou petites, regroupant quelques centaines d’adeptes ou drainant des centaines de millions de soumis, les sectes jouissent de l’imprescriptible liberté de promouvoir des morales, d’édicter des lois internes auxquelles leurs croyants sont invités à déférer.
Il leur est légitime d’admettre ou non le mariage entre fidèles et mécréants, le divorce, la contraception, l’homosexualité.
En revanche, qu’elles ne s’avisent pas de régenter la vie de (...)