samedi 16 mars 2013
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Plus d’une semaine après sa mort, les cendres d’Hugo Chavez sont encore assez chaudes pour que les belles personnes continuent à cracher dessus.
Cela ne leur suffit pas de l’avoir si souvent calomnié de son vivant. Il leur faut piétiner sa dépouille, comme pour empêcher la créature démoniaque de revenir à la vie. Rien n’aura calmé leur haine ni leur peur.
Ni sa mort qui n’en fait plus un protagoniste des luttes politiques au Venezuela et lui interdit de se (...)