La présidentielle de 2002, le rejet du Traité constitutionnel européen (TCE), puis la victoire du mouvement anti-CPE1 montrent le poids de la gauche radicale en France. N’est-il pas paradoxal que les socialistes n’en tiennent pas compte en choisissant Royal et qu’aucune offre réellement alternative au PS n’émerge ?
Le paradoxe tient peut-être dans la lecture de la dynamique politique. En 2002, la gauche critique à l’égard du PS avait pleinement rempli son (...)