Dans un jugement du 22 octobre 2013 non frappé d’appel, la 17ème chambre correctionnelle du tribunal de Paris a infligé un camouflet judiciaire à Manuel Valls. Certes, Philippe Pichon, commandant de police mis à la retraite d’office suite à sa dénonciation illustrée et argumentée du STIC, fichier policier tentaculaire, a été reconnu coupable de violation du secret professionnel. Mais il a été condamné à une peine symbolique de 1500 euros d’amende avec sursis et surtout, le (...)