Je crains que la décision du PCF parisien et le discours qui l’accompagne n’aient finalement que des suites funestes, des suites dont on mesure encore mal les effets mais qui contribueront, je le crains sans le souhaiter et tout en le combattant, à ne plus nous différencier de ces pays d’Europe où ce que nous incarnons d’essentiel s’est en quelque sorte autodétruit, sous la pression de la conjoncture, certes, mais plus encore de l’opportunisme pragmatique.