Les dirigeants français, conservateurs et "républicains", sont sortis de la Première Guerre mondiale, tellement imbus de leur gloire qu’ils trament des projets dignes de Pichrochole. Un cléricalo-royaliste comme Castelnau, un fascisant comme Franchet d’Espérey, un conservateur nationaliste comme Foch, un radical comme Clémenceau unissent leurs efforts à ceux du grand patronat pour renverser l’URSS, la démanteler et garder pour les capitaux français les meilleures (...)