Dimanche, nous étions dans la rue, contents d’être ensemble, de dire qu’on n’est pas des moutons disposés à se laisser tondre sans résister. Combien de commentateurs, combien de dirigeants du PS attendaient avec gourmandise, que nous trébuchions pour pouvoir pérorer - vous voyez le Front de gauche n’existe plus, Jean-Luc Mélenchon c’est fini. Combien a dû être forte leur déception mais surtout leur fureur de voir qu’il y a dans le pays des dizaines de (...)