José Bové porte-drapeau d’une désobéissance civile nécessaire La Cour de cassation en rejetant le pourvoi de José Bové ce 7 février a rendu définitive sa condamnation à quatre mois de prison ferme pour avoir fauché du maïs transgénique cultivé en plein champ en juillet 2004 à Menville en Haute-Garonne.
Bové ne perd pas ses droits civiques pour autant, il a déjà effectué de la prison en 2003 pour fauchage de plants transgéniques et en 2002 et 1999 pour avoir démonté un restaurant (...)