Les militaires les faisaient mettre la face contre le mur jambes et mains écartées, qu’ils soient valides ou blessés. Ils ont commencé à les frapper avec une violence extrême à coup de bottes au niveau des jambes, les parties sexuelles, le dos, les côtes. Ils leur donnaient des coups de casques derrière la tête, et le visage des prisonniers s’écrasait contre le mur.