La justice a déjà prouvé son indulgence voire sa bienveillance à l’égard de l’extrême-droite à plusieurs reprises : les assassins de Brahim Bouarram ont été condamnés à des peines de huit mois à un an ferme, un militant qui a tiré sur un concert de soutien aux sans-papiers a été condamné à deux ans de prison en comparution immédiate sans aucune enquête sur les complicités dont il a bénéficié, Serge Ayoub est relaxé de l’assassinat de James Dindoyal et nous pourrions poursuivre cette triste liste...