Mercredi 17 décembre s’est tenu au Parlement grec le premier tour de l’élection présidentielle. Une élection dont l’issue, malgré le rôle purement honorifique attribué par la constitution grecque au Président de la démocratie, peut déterminer l’avenir politique grec et provoquer un changement du rapport de forces au sein de l’Europe. Car l’enjeu de cette élection a changé de nature pour deux raisons : par l’usage, d’abord, qu’a voulu en (...)