Cette situation de maître prise par l’homme sur la femme eut des conséquences diverses.
La femme ne fut plus dès lors, comme dans la horde, un simple objet servant à la jouissance sexuelle ou à l’accroissement de l’espèce ; elle devint la productrice d’héritiers par lesquels l’homme se survivait, se perpétuait pour ainsi dire dans sa propriété ; elle constituait surtout une précieuse main-d’œuvre. Elle acquit de la sorte une valeur ; elle devint (...)