Toutes ces multinationales sont évidemment des fans de l’économie de marché… mais jusqu’à un certain point. Pour elles, la notion de concurrence libre et non faussée relève de la macroéconomie, pour définir les grandes lignes du libre-échangisme. Ensuite c’est « business as usual » : ententes, coups tordus, secteurs contre secteurs, distorsion du marché pour s’assurer un meilleur partage de la marge