Elle y critique la politique étrangère de Madame Merkel à l’égard de la Russie et son alignement sur les intérêts de l’OTAN et des États-Unis d’Amérique. Sahra Wagenknecht critique également les négociations sur le Grand Marché Transatlantique, contraire à la démocratie, et critique fortement la politique économique de Madame Merkel. Enfin, elle explique que le gouvernement d’Alexis Tsipras ne peut être jugé responsable de la dette grecque. Elle montre enfin que l’oligarchie a profité de la crise grecque pour s’enrichir davantage.