L’homme qui se paie un Falcon pour quitter le congrès de son parti et emmener ses enfants de Poitiers à Berlin pour 17 000 euros à un match de foot, ne recule plus devant rien : le voilà qui facilite les licenciements abusifs, sans cause réelle et sérieuse, boursiers, de façon à ce qu’ils coutent le moins cher possible aux patrons.