Alexis Tsipras a tenu ferme sur des exigences qui constituaient autant de lignes rouges à ne pas dépasser, comme le refus d’augmenter la TVA sur les produits de première nécessité ou de l’énergie, un souhait du FMI. Le bras de fer se poursuit. Le dossier des retraites, par exemple, reste explosif, à l’intérieur même de la coalition Syriza.