Non contents du blocus financier qu’ils ont organisé, Berlin et ses affidés, dont le patron de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem, abordent les réunions du week-end en faisant de la surenchère. Manifestement l’Allemagne ne veut pas d’un accord mais la capitulation totale de la Grèce même au prix d’un Grexit.