Voilà l’Union européenne : Plutôt trahir la souveraineté des urnes, et donc du peuple, que de laisser le pouvoir aux représentant-e-s qu’il s’est choisi-e-s, dès lors qu’ils risquent d’ébrécher l’ordolibéralisme. Il est vrai qu’après la Grèce, il convient de mettre le holà à ces peuples osant protester contre les purges d’austérité qu’ils subissent.