Manuel Valls a donné le ton de la prochaine campagne présidentielle. « Bien sûr, a-t-il affirmé, il y a l’économie et le chômage, mais l’essentiel, c’est la bataille culturelle et identitaire ». Je tiens, à l’opposé, que c’est cette conviction qui a fait le lit du Front national et qui voue la gauche française au désastre.