Pour bon nombre de déportés dans les camps de concentration et d’extermination nazis, comprendre l’allemand fut très souvent une planche de salut pour ne pas se retrouver sous des coups de matraque ou avec une balle dans la tête. C’est strictement ce qui vient d’arriver à une jeune mère palestinienne de deux enfants et enceinte de 5 mois ainsi qu’à son frère au check-point de Qualandya.