Si pour la première fois, loin de la « fracture sociale » de M. Chirac, voire du « travailler plus pour gagner plus » de M. Sarkozy, la droite ne promet ouvertement aujourd’hui que du sang et des larmes à celles et ceux qui n’ont que leur travail et leurs maigres retraites pour vivre ou survivre, c’est qu’elle considère disposer d’un rapport de force qui le permet.