Sarkozy se complaît à jouer à fond dans le vieux registre de le Pen : le voilà qui se prétend « diabolisé » et qui affirme « - Je ne suis pas candidat pour plaire à un petit milieu parisien, entre le boulevard St Germain et l’Assemblée nationale. Ce ne sont pas la presse, les sondages, les élites qui m’auront choisi, mais les Français »(sic).
Comme s’il n’était pas choisi par Bouygues Lagardère, Dassault Rotschild, le Cac 40 et le Medef.
Diabolisé ? Mais vu son (...)