La bonne nouvelle, c’est que l’axe syndical opposé à la loi Travail de l’an dernier s’est reconstitué, voire va même s’élargit à la CGC. La mauvaise, c’est que nous aurons perdu quinze jours, depuis la précédente intersyndicale du 9 octobre, à poursuivre la chimère du syndicalisme rassemblé, là où les syndicats qui ont fait le choix d’accompagner la politique de Macron sont pourtant eux aussi en échec.