Lula vient d’être condamné à l’unanimité à une peine augmentée de trois ans, passant de 9 à 12 ans. Or, les juges n’ont toujours pas de preuves concrètes pour démontrer sa culpabilité pour corruption. Ce déni de justice, comme le coup d’Etat institutionnel de Temer, aurait été impossible sans le soutien tacite des États-Unis d’Amérique...