En posant le débat de la PMA sur le terrain de la bioéthique et non sur celui de l’émancipation humaine, alors que le principe même de PMA est autorisé depuis 1994, le gouvernement macroniste passe à côté d’une approche universaliste sur les nouveaux droits humains tels que posée par le programme l’Avenir en commun de la France insoumise.