Portée par une véritable haine de classe, n’assistons-nous pas au développement d’une véritable guerre de classe engagée par le pouvoir qui utilise en « temps de paix apparente » les moyens qui sont à sa disposition, la police et la justice en l’occurence, pour tenter de terrasser ses adversaires ? N’assistons nous pas à une adaptation nationale d’un mal plus général qui menace la démocratie à l’échelle internationale. Le candidat donné favori au Brésil par exemple n’est autre qu’un sinistre fasciste qui préconise en guise de programme l’éradication définitive du socialisme, des socialistes donc, la liquidation en bonne et due forme de ses opposants...