Il serre des mains (sélectionnées), renouvelle le gouvernement, parle et parle encore dans les médias, se sépare de Benalla, enlace le torse nu d’un éphèbe (et délinquant) musclé en sueur, marche dans la boue des villages inondés, ratisse à droite en chantant « Maréchal nous voilà », rien n’y fait : le lien avec le peuple est rompu.