Monsieur le Président, vous avez, certes, écouté la révolte qui gronde. Si tel n’avait pas été le cas d’ailleurs, jamais vous n’auriez écrit votre lettre. Mais, clairement, vous ne l’avez pas entendue. Nous en voulons pour preuve le choix des thèmes que vous proposez dans ce « débat », choix qui écarte soigneusement les « sujets qui fâchent »...