Des avions français ont frappé dimanche 3 février, dans le nord du Tchad, un groupe armé d’opposants au président Idriss Déby. “Emmanuel Macron s’est senti obligé de voler au secours du dictateur”, dénonce cet éditorialiste guinéen, pour qui le chef d’État, comme ses prédécesseurs, ne compte pas rompre avec la Françafrique.