Car, 8 années après la catastrophe, et malgré les alertes de nombreux·ses scientifiques, lanceur·se·s d’alerte et ONG, le risque d’un tel accident est toujours présent, notamment en France. La faute à une politique de l’immunité nucléaire dont un des principaux verrous se trouve ici au sommet de l’Etat avec le président Macron.