Hormis la disparition (provisoire) d’une photographie, elles n’engendrent non plus aucune dégradation. Pourtant, le gouvernement y a répondu avec une répression particulièrement féroce. Les 32 portraits décrochés ont donné lieu pour l’instant à 24 gardes à vue, 19 perquisitions et la saisie du bureau de lutte anti-terroriste.