Non seulement ils brisent les corps, les vies, les familles, mais ils édictent des interdictions de se déplacer et assènent la prison ferme pour délit d’intention. N’oublions pas les violences judiciaires, loin des vidéos, mais tout aussi glaçantes que les violences policières. Que serait-il arrivé aux 32 interpellés de la Pitié Salpétrière si le mensonge du gouvernement n’avait pas été dénoncé ? Combien de Gilets Jaunes sont en prison pour des motifs tout aussi imaginaires ?