Professeur d’histoire-géographie, rescapé de l’attentat du Bataclan, j’interpelle Emmanuel Macron sur l’emploi d’éléments de langage et de communication visant à faire passer les professeurs grévistes pour des preneurs d’otages. La grève est un droit constitutionnel : arrêtons la criminalisation et l’invisibilisation des mouvements sociaux.