Le texte prévoit des amendes de 150 000 euros à 1 million d’euros contre les bateaux de sauvetage d’ONG en Méditérranée, jusqu’à dix ans de prison contre les personnes secourant les migrants ainsi que de nouvelles mesures renforçant les peines pour les actes de défiance envers les forces de police, dans les stades ou lors des manifestations.