Sous la présidence de Rafael Correa, la presse française ne fut jamais avare d’articles dénonçant « l’autoritarisme » du président équatorien. Après le virage politique à 180°, le pays semble être redevenu un paradis pour les journalistes et la liberté d’expression, à en croire la presse française. Moreno a pourtant lancé une chasse aux sorcières massive contre son opposition, dont les premières victimes sont bel et bien les journalistes.