Des responsables indépendantistes catalans ont été condamnés lundi 14 octobre à des peines allant jusqu’à 13 ans de prison, pour leur rôle dans la crise de 2017. Des mobilisations s’organisaient à Barcelone alors qu’Oriol Junqueras, le principal condamné, dénonce une « vengeance ». Le socialiste Pedro Sánchez exclut, lui, toute amnistie.