Le 10 mars dernier, j’écrivais sur la banqueroute imminente des contractants d’emprunt immobilier aux Etats-Unis, dont l’impossibilité de rembourser affecterait non seulement l’économie étasunienne, alors qu’un grand nombre d’entre eux se déclarent en faillite, mais aussi les marchés mondiaux, alors que le risque a été largement vendu dans d’autres pays, avec le gros des pertes arrivant en Asie.
Indices et titrisation [1], en bref
Les banques (...)