Je suis interrogé régulièrement sur la candidature d’Arnaud Montebourg. Beaucoup voudraient que je la vive comme une concurrence négative. Ce n’est pas le cas. J’estime, à seize mois du vote, que sa présence dans le débat peut être très utile et même profitable pour nous. Je voudrais montrer ici l’importance mais aussi les limites de cette façon de voir la situation.