Les militantEs associatifs kurdes sont littéralement harcelés par le gouvernement français : gel récent des avoirs pour 12 militantEs, ce qui signifie qu’ils et elles n’ont plus accès à leur comptes en banque et à leurs salaires, convocations par la DGSI, fichage S et même expulsions comme cela a été le cas il y a peu à Bordeaux.