J’ai dit que Macron était débarrassé de son plus sérieux concurrent à droite. Hors de ce simple constat d’évidence, je ne me sens l’esprit ni à me réjouir ni à m’affliger. Je n’ai pas l’intention de désarmer ma méfiance. Je vois que cet épisode, contre son gré, n’aura pour finir produit qu’une chose : accroitre le malaise politique du pays.