"On y allait dans la joie et la bonne humeur entre guillemets, on jouait sur notre qualité de policiers, on négociait les prix en disant : ’C’est combien pour la police, tu viens d’où, tu as quel âge’", a témoigné anonymement, au micro d’Europe 1 vendredi, l’ex-policier.
Le procès s’est ouvert vendredi devant les Assises de Paris.
"Peut-être qu’(elles) ne pensaient pas qu’on rigolait. Mais nous, on partait dans cet esprit-là", a-t-il (...)