Dans une tribune intitulée « L’urgence de nouveaux contre-pouvoirs » et publiée dans l’Humanité, le professeur Massias exprime un point de vue modéré, que je qualifierai de « libéral classique » (sans intention péjorative, car le libéralisme politique a contribué à notre démocratie républicaine). Est-il à la hauteur des enjeux démocratiques (donc institutionnels) actuels ? Qu’il soit permis ici de le contester, sans prétendre débattre avec un professeur de droit (...)