Maximilien Robespierre s’opposa farouchement à la guerre, jusqu’à ce qu’elle devienne irréversible auquel cas la Révolution aurait été perdue. Robespierre n’a cessé de dénoncer la guerre comme un cheval de Troie d’une contre-révolution intérieure, au bénéfice du roi Louis XVI. Par cette position, il s’opposait aux Girondins.