Moquées parfois, minorées souvent, les mobilisations de la jeunesse pour le climat n’étaient pas une mode. Depuis 2018, elles se multiplient et elles s’organisent sous différentes formes : grèves lycéennes, marches pour le climat d’abord. Prises de parole de jeunes diplômés de grandes écoles qui refusent d’entrer dans le moule de l’économie productiviste qui détruit la planète, comme à AgroParisTech en mai dernier en France. Un mouvement qui se construit aussi à l’échelle internationale...