On aurait pu croire à la suite de la prise de conscience actuelle sur le réchauffement de la planète et de l’amenuisement de la biodiversité en particulier, qu’il serait bien de stopper quelque peu le cycle infernal de la productivité en mettant en veilleuse certaines recherches, comme la modification génétique des espèces par exemple, voire, encore plus préoccupant : le clonage.
Eh bien non, c’était sans compter sur la soif insatiable de rentabilité de l’industrie (...)